Le goût de la conversation et la belle amitié de Dany Laferrière et Alain Mabanckou à la Maison de la Poésie de Paris.
Dany Laferrière : « Beaucoup de gens sont jaloux de cette proximité, de cette communication à voix basse. » L’enfance ? « On ne lâche pas une bonne histoire que l’on tient, on y va ! Jusqu’à ce que le lecteur vous tue ! » « Comment peut-on être autre chose qu’un écrivain de la mémoire ? »
Alain Mabanckou : « L’exil, c’est un terme qu’on a fini par envelopper de significations très hâtives (…) La vraie littérature commence quand elle se libère de tous ces carcans. »